La voiture démarre à nouveau, les minutes sont longues. Le coffre est tout petit et je
dois maintenir le god de mon Maître (il me dira plus tard, que c’était un cadeau, le moulage de sa propre queue).
A poil, je ne savais même pas où se trouvaient mes affaires. Pourtant, être
ainsi emmené nu dans un lieu inconnu m’exitait au plus haut point. Au bout d’une demi-heure, la voiture s’arreta mais ce n’est que 10 minutes plus tard que mon Maître est venu m’ouvrir. Je ne
savais pas du tout où nous étions, ma vue était toujours recouverte. Il me tira par la laisse sans mots dire. Je suivais tel un bon chien.
Ascenceur, couloir, bruit de clé, … Il me tire violement par la laisse pour me
faire entrer. A peine la porte refermée, il me fait mettre à genoux en tirant contre le bas
mon seins droite.
La douleur est très
intense. Il me prend la tête avec ses 2 mains et me plaque la bouche sur la bosse de son pantalon.
« Descends mon pantalon salope ! »
« Oui Maître. »
Je descends son pantalon, puis son slip. Petit à petit, je sens son odeur de
Mâle se renforcer … mmmh puis sa superbe queue de Mâle supérieur est enfin libérée !
Je commence à m’approcher de se phallus qui me fait saliver quand
tout-à-coups, je reçois une baffe un pleine geule.
« Qui t’as dis de me sucer salope ! »
« Personne, pardon Maître. »
« Il y a pas de pardon Maître ! Tu fais ce que je te dis, quand je
te le dis ! Compris salope ? »
« Oui Maître. »
« Retourne-toi, présente-moi ton de pouffiasse et insulte-toi !»
« Oui Maître. »
«Maître, Je vous demande pardon, je ne suis qu'un sous-mec,
cocu, incapable de baiser sa propre femme, je mérite une punition pour devenir le vrai soumi que je veux être. C'est-à-dire un pauvre type qui ne vit que par et pour vos claquements de doigts.
J’ai besoin d’une punition pour bien me faire rentrer dans ma petite cervelle de chien ce que je dois faire et ne pas faire pour bien vous servir et vous faire plaisir».
« A plat ventre ! Tu vas me faire des pompes !»
« Oui Maître. »
J'aime me sentir dirigé et humilié ainsi, mmh je suis fier
d’avoir enfin trouvé MON Maître ! Je fais mes pompes.
« Mieux que ça petit con ! Sinon tu vas en faire toute la nuit !»
« Oui Maître. » (fatigué)
« Couche-toi à plat ventre petit con !»
« Oui Maître. »
« Rampe à moi raclure !»
« Oui Maître. » Je rampe (toujours avec le plug dans le cul).
« C’est bien, tu es sur la bonne voie »
« Merci Maître. » Wouaw j’étais heureux de ses mots sous le charme de la
beauté de cet être bienfaisant.
« Enlève mes chaussures !»
« Oui Maître. » Je m’execute.
« Reniffle mes chaussettes comme le ferait un bon chien ! Donne-toi si tu
as envie de revenir»
« Oui Maître. » Bien sûr que j’ai envie de revenir !
« Retire mes chaussettes, mets-les dans cette capote et enfonce les toi dans
le cul à la place de ton plug»
« Oui Maître. »
Difficile et très humiliant de retirer ce gros plug, allongé aux pieds de mon
Maître. Mon anus s’était refermé sur cette queue et je n’arrivais presque plus à la sortir. Les chaussettes sous préservatif, c’est rentré comme dans du beurre. Je me retrouvais avec les
chaussettes de mon nouveau Maître insérées dans la partie la plus intime de mon corps.
« Retourne-toi, couche-toi sur le dos ! Enlève ta cagoule. »
« Oui Maître. »
« Ouvre la bouche et sors ta langue comme le ferait un bon chien. »
Mon visage était tout humide de transpiration. A peine, j’avais retrouvé la
vision que les 2 pieds de mon Maître vinrent recouvrir mon visage, ma geule de chien »
« Lèches mon chien. »
« Oui Maître. »
« Sors bien ta langue ! Lèche bien le dessous, puis entre chaque
orteille. Et arrète avec tes Oui Maître un chien ne parle pas tu as le droit de dire wouaf ou de faire des signes de la tête ou de la queue. C’est
compris ?»
« Wouaff .»
Mon dominateur appuie avec insistance ses pieds sur mon visage. Il me malaxe les joues, pénètre ma bouche, écrase mes narines en me
bloquant parfois la respiration.
Je me sens super bien dans mon élément. Complétement inférieur, couché sur le dos aux pieds du
trône de Mon Maître. Sa paire de chaussette bien au fond de mon trou de cul et ses 2 panards m’étouffant, m’humiliant, me dominant. Mmmh MERCI Maître d’avoir immédiatement su traiter
l’inférieur qui sommeillait en moi. MERCI Maître.
Au bout d’un long moment de léchage, après que j’eusse fait à chaque orteil de
mon Maître sa petite pipe, il m’ordonna de me relever et de venir me mettre en travers sur ses genoux. En quittant la position au sol il m’autorisa à lui répondre un bon soumi comme il me l’avait
déjà bien appris sur msn.
« Mannes-toi ! »
« Oui Maître. » Je m’allongait en travers de ses jambes en m’attendant à
recevoir une bonne fessée mais sa main vint s’emparer de mes testicules qu’il commença à serrer jusqu’à ce que je l’implore d’arrêter.
« Pitié Maître. » (c’est le STOP code que nous avions défini).
Il ne relacha pas mes burnes, mais simplement diminua un peu la pression. Je
voyais tout tourner et une impression bizzare. Au bout de 3 bonnes minutes de traitement il me dit : « Lèches mon doigt ! Suce-le comme une bonne salope qui aime la bite. »
« Oh Oui Maître, tout de suite. »
« Ta geule salope ! Je t’ai pas demandé de placer ton commentaire.
J’ordonne, tu obéis ! C’est compris petit con ? »
« Oui Maî... » A peine que j’ouvris ma bouche qu’il m’introduit sauvagement 2
doigts dedans. Il voulait que le suce que une femelle affamée de verge mais là c’était quasi impossible car il me limait, m’écartelait avec ses 2 doigts, il pinçait ma langue. J’avais
l’impression d’être un cheval qu’on osculte avant de le vendre sur un marché aux bestiaux. C’est bientôt presque toute sa main qui me pénètrait.
A cet instant, je reçu ma première fessée à mains nues de sa part. Je
continuais de lécher et sucer ses doigts qui étaient devenus plus doux. Mes fesses désensibilisées par les coups de ceinture sur le parking acceuillèrent sa correction avec beaucoup de
dignité.
A nouveau, je me sentais super bien, je sentais la dureté du sexe de mon
Maître qui frottait contre mon nombril au gré de ses coups ...
Je me sentais bien et je m’imaginais sous mon Maître et qu’il me demande de
lui lécher les couilles, … je révais de pouvoir enfin le sentir de près et de pouvoir enfin poser ma langue sur son sexe. Je révais de pouvoir enfin goûter à son odeur, je révais qu’il me demande
de le lécher comme son bon chien que je suis.
Ses fessées alternaient avec des caresses de mon postérieur. Petit-à-petit, il
se mit à jouer avec le préservatif qui était au plus profond de moi. Je n’ai pas vu exactement ce qu’il faisait mais ses doigts étaient très bons pour mon petit trou.
Puis tout cessa. « Lève-toi et allonge toi sur le ventre à mes
pieds !»
« Oui Maître. »
« Rampe, suis moi !» Je
n’avais plus de cagoule et dû le suivre le long d’un imposant couloir.
« Fais le chien, fais le beau ! »
« Wouaff .»
« C’est bien, tu es sur la bonne
voie. Attends-ici et ne bouge pas ! ». J’étais dressé sur les mes pattes arrières avec mes 2 pattes avant en offrande au niveau des seins et la langue tirée.
